Chirurgie du Genou

De la réparation méniscale à la prothèse sur mesure

L’Institut Orthopédique Paris prend en charge l’ensemble des pathologies du genou – dégénératives, post‑traumatiques, inflammatoires ou sportives – en s’appuyant sur la planification 3D pré‑opératoire, des techniques mini‑invasives et les dernières recommandations scientifiques. Pour la chirurgie prothétique, l’alignement cinématique et l’approche sub‑vastus limitent l’agression tissulaire et accélèrent la récupération.

Pathologies les plus fréquentes

  • Gonarthrose : usure du cartilage provoquant douleur mécanique, raideur, gêne à la marche ou dans les escaliers.

  • Lésions méniscales : blocages, gonflements, douleurs articulaires.

  • Lésions ligamentaires (LCA/LCP) chez le sportif : pivot shift, instabilité.

  • Instabilités ou pathologies rotuliennes : luxations récidivantes, douleur antérieure.

Grâce à la collaboration étroite entre radiologues, médecins du sport et kinésithérapeutes, chaque traitement est adapté au profil du patient : jeune sportif, adulte actif ou senior. L’objectif : Soulager, préserver ou remplacer afin de redonner mobilité et qualité de vie.

Questions fréquemment posées

Lorsque la douleur persiste malgré médicaments, infiltrations et rééducation, et qu’elle limite réellement vos activités quotidiennes.

L’IRM et le scanner 3D montrent l’étendue des lésions ; on privilégie les gestes conservateurs (suture méniscale, reconstruction ligamentaire) chez le patient jeune, la prothèse lorsque l’usure est globale.

Il vise à reproduire l’axe natif du patient plutôt que la mécanique “droite”, améliorant stabilité, sensations et durée de vie de l’implant.

Hospitalisation 2–3 jours (ambulatoire possible pour l’arthroscopie).
Rééducation : début immédiat. Conduite ≈ 2 semaines, bureau ≈ 3 semaines, sport à impact 3–6 mois.

Infection (< 1 %), raideur, phlébite (prévention systématique), usure prématurée ou descellement (suivi annuel conseillé).

Les implants actuels tiennent 15–20 ans dans > 90 % des cas ; un suivi clinique et radiologique régulier permet d’anticiper une révision si besoin.