Chirurgie de l’Épaule

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Technicité, précision et expertise pour les pathologies de l’épaule

La chirurgie de l’épaule a beaucoup évolué grâce aux techniques arthroscopiques mini‑invasives. À l’Institut Orthopédique de Paris, nous appliquons les recommandations les plus récentes (SFA, SECEC, SOFEC) pour traiter les pathologies dégénératives, traumatiques, sportives ou inflammatoires de l’épaule.

Pathologies les plus fréquentes

      • Conflit sous‑acromial & tendinopathie de la coiffe : douleur à l’élévation, perte de force, troubles du sommeil.
      • Ruptures de la coiffe des rotateurs : partielles ou complètes, d’origine dégénérative ou traumatique.
      • Instabilités gléno‑humérales : luxations récidivantes ou subluxations, fréquentes chez les sportifs.
      • Arthrose gléno‑humérale ou acromio‑claviculaire : douleur chronique, raideur, limitation de mobilité.
      • Calcifications tendineuses : crises douloureuses aiguës ou gêne chronique.
      • Lésions du labrum & du long biceps : douleurs profondes, claquements, faiblesse lors des efforts.

Nos chirurgiens travaillent en étroite collaboration avec radiologues, anesthésistes‐algologues, kinésithérapeutes et orthésistes pour offrir un parcours de soin rapide, personnalisé et pluridisciplinaire, adapté aussi bien aux sportifs qu’aux patients plus sédentaires.

Tous les chirurgiens du membre supérieur de l’Institut Orthopédique de Paris collaborent au sein du Centre Main Paris Monceau (CMPM).

Questions fréquemment posées

Douleur en élévation ou rotation du bras, perte de force, craquements, troubles du sommeil et limitation progressive de la mobilité sont les signes majeurs. Une échographie ou une IRM confirme le diagnostic.

Lorsque le traitement médical (repos, rééducation, infiltrations) ne soulage plus, que la douleur persiste au‑delà de 3–6 mois ou qu’il existe un déficit fonctionnel important (perte de force, instabilité récidivante).

Grâce à l’anesthésie loco‑régionale et aux protocoles antalgiques actuels, la majorité des patients ressent une gêne modérée contrôlée par des antalgiques simples ; la douleur diminue nettement après les premiers jours.

La prothèse anatomique respecte le schéma naturel de l’articulation et nécessite une coiffe fonctionnelle. La prothèse inversée modifie les centres de rotation pour compenser une coiffe déficiente ; elle est indiquée pour les ruptures massives irréparables ou l’arthrose évoluée.

Une réparation Bankart, un renforcement musculaire ciblé, un respect du protocole de rééducation et un retour progressif au sport limitent nettement le risque de nouvelle luxation.

Oui : elle débute dès les premiers jours (mobilisations passives, puis actives). La durée varie de 2 à 6 mois selon l’intervention, avec un suivi rapproché kinésithérapeute‑chirurgien pour adapter les exercices.